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Retrouvez l'ensemble de nos publications et articles. Des outils,
les nouvelles tendances en terme de management, nos retours d'expériences.
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Mis en ligne le 2 Octobre 2018 par Kenza SKALLI
Empathie, bienveillance, authenticité : autant de savoirs-être indispensables pour susciter l'engagement des salariés. Cela implique une mue des postures managériales : coacher plutôt que contrôler. En quoi ces soft skills sont-elles cruciales pour améliorer la qualité de vie au travail (QVT) aujourd'hui ? Comment les managers peuvent-ils développer leur intelligence émotionnelle ? Grâce au coaching individuel et à des ateliers collectifs de formation.
Selon une étude Gallup internationale menée en 2017 dans plus de 150 pays*, la France est lanterne rouge de l'engagement au travail. Les entreprises hexagonales comptent en effet :
3 catégories de collaborateurs que le spécialiste de l'entreprise libérée et de la transformation organisationnelle Isaac Getz compare à un bestiaire :
Comment remobiliser des équipes ronronnantes et sans entrain ? Une étude Malakoff Médéric* souligne que pour 38% des salariés, la reconnaissance est la 3e condition d'une bonne qualité de vie au travail, derrière l'ambiance entre collègues (49%) et la rémunération (40%). Une autre enquête ADP* sur l'engagement des salariés révèle que 23% des Français souffrent du manque d'estime de leur employeur envers eux.
Si la valorisation financière reste le signe de reconnaissance le plus apprécié (62%), il est suivi de près par des feedbacks réguliers... et les marques élémentaires de courtoisie. Ainsi, les collaborateurs attendent surtout de la considération. Cela passe notamment par :
Les entreprises appliquant un management bienveillant affichent des résultats records. +94% de performances boursières en moyenne et jusqu'à +314% en 10 ans pour les sociétés les mieux notées (source : La Tribune*). Preuve (s'il en fallait encore une) qu'un management de qualité est un investissement rentable à long terme. Par management de qualité on entend :
Autant de critères relevant plus des soft skills (savoirs-être) que des hard skills (savoirs-faire: compétences techniques et autres diplômes).
A l'ère de la digitalisation et de l'intelligence artificielle, les tâches à faible valeur ajoutée sont de plus en plus automatisées. Conséquence : la disparition des emplois les moins qualifiés. Dans ce contexte de transition numérique, le manager de demain doit se distinguer par des compétences non délégables aux machines : ses qualités humaines.
D’après le World Economic Forum, voici le top 10 des soft skills à avoir en 2020 :
Ces «compétences molles» couvrent un large spectre d'aptitudes clés en entreprise. Le leader de demain doit développer ses capacités à :
Devenir un manager-coach demande de l'expérience, des compétences techniques mais aussi personnelles. Bonne nouvelle n°1 : le charisme ne fait pas tout. Bonne nouvelle n°2 : susciter l'engagement des salariés, cela s'apprend. Il ne s'agit pas de changer la personnalité d'un individu, mais de le guider pour développer son potentiel et sa congruence (adéquation entre ce qu'il est / dit / fait).
Grâce à la plasticité cérébrale, chacun possède en lui la capacité d'évoluer, à tout âge. Vous disposez pour cela de divers outils :
Après un état des lieux via des tests de personnalité, un consultant certifié dresse pour vous les axes de travail et vous propose un programme sur-mesure.
*Sources :
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